« « La littérature est rarement un endroit de propagande qui réussit, mais c’est un endroit de recherche, où on teste des postulats pour voir comment ils fonctionnent. On n’écrit pas des histoires pour convaincre, mais pour continuer de poser des questions. » Au lecteur, ensuite, de s’en saisir ou pas. Voilà pourquoi l’autrice de SF Ketty Steward se méfie des ouvrages qui lui vantent un futur meilleur... »
Alors voilà : un roman écrit à de nombreuses mains, dans des bibliothèques autogérées et mal chauffées, avec une perspective féministe radicale et anti-autoritaire, avec des dessins pour se faire du bien, de la colère politique et une grosse envie de changer ce monde, de parler de ce qui va mal en se tatouant un cheval sur le cul ou en collectionnant les coquillages, bref, un roman comme celui-là, on a envie qu’il circule, qu’on en parle, qu’on le critique…